Le planning Imprimer
Écrit par Pascal   
Dimanche, 10 Mai 2009 00:00

Nous partons le 31 mai 2009 par l'aéroport d'Orly direction Montréal pour 10 mois de vadrouille à travers les Amériques. Montréal est la ville où nous attendent les 2 véhicules 4X4 que nous avons achetés...

Le planning, comme le parcours d'ailleurs, est assez ambitieux car il suppose que nous ne trainerons pas trop sur la route. Il est pourtant indicatif car aucun engagement n'a été pris : pas de réservation, pas d'autre billet d'avion que celui de Montréal (aller simple), pas de point de RDV sur la route. Cela va nous permettre d'être peut être plus libres en fonction de nos envies, de notre humeur ou tout simplement si nous découvrons un endroit paradisiaque pour se poser quelques temps.

Il peut également permettre à certains de nos amis d'envisager de nous retrouver sur la route sans, malheureusement, de certitude à l'avance sur les lieux et les dates.

 

 

Plusieurs remarques :

  • Les dates du périple ont été choisies en fonction de la météo sur le parcours. Pour pouvoir circuler en voiture dans l'extrême nord et dans l'extrême sud, il fallait être dans ces régions en été, donc un départ au début de l'été dans le nord et un passage prévu vers la fin de l'année en Patagonie. Par contre toutes les périodes ne sont pas favorables par rapport au planning : tornades dans le middle ouest des USA, canicule dans les déserts de l'Arizona et du Névada, période des ouragans dans le golfe du mexique, saison des pluies au niveau des régions équatoriales.
  • L'Amérique centrale et l'Amérique du sud sont privilégiés (peut être aussi car la route est plus longue et moins roulante à partir du Mexique).
  • Pour un trajet initialement prévu de l'Alaska jusqu"en Patagonie, le temps prévu en Argentine, au Brésil, au Paraguay, en Uruguay et en Guyane représente un bon quart du temps total. On ne pouvait vraiment pas faire une croix sur ces pays.
  • On termine par la guyane, terre Française, d'où il sera probablement plus facile de vendre les véhicules et de prendre un billet de retour pour Paris (et pourquoi pas avec une escale aux antilles ... pour se reposer quoi !)